Symposium de sculpture de Sept-Îles

Symposium de sculpture de Sept-Îles

Lauréat Prix Culture et développement 2017
Population de 20 000 à moins de 100 000 habitants
Remis en partenariat avec Artpublix

Afin de répondre au besoin du milieu culturel de Sept-Îles de développer et de mettre davantage en lumière les arts visuels, la Ville a créé, en partenariat avec le collectif Panache art actuel, le Symposium de sculpture de Sept-Îles, dont la première édition s’est tenue en 2016. Celle-ci a pu être financée entièrement par l’intermédiaire de l’entente de développement culturel conclue entre la Ville, le ministère de la Culture et des Communications et un partenaire privé, soit l’Aluminerie Alouette, conférant ainsi à cette entente un statut unique au Québec.

Le Symposium a eu lieu dans le parc des Jardins de l’Anse. Sous le thème Art et industrie, l’événement a permis de faire connaître la pratique de la sculpture contemporaine, tout en offrant un espace et une occasion de rassemblement pour les citoyens. Le Symposium a également favorisé les échanges et les rencontres entre les artistes sculpteurs et le public.

Trois œuvres issues du Symposium font maintenant partie du paysage de la ville. L’ajout de ces œuvres monumentales dans le parc des Jardins de l’Anse, situé à l’entrée de la ville, confère à celui-ci une vocation de « parc des arts ». Une attention particulière a été portée au choix de matériaux durables pour réaliser les œuvres ainsi qu’à l’intégration de celles-ci au paysage septilien.

Le jury salue la vision de développement culturel, social et environnemental associée au projet. Issue d’une volonté collective, cette initiative, d’une qualité artistique indéniable, est portée par un fort réseau de partenaires. Un collectif d’artistes en art actuel, le milieu des affaires, les différents paliers municipaux et la Ville de Sept-Îles ont collaboré étroitement à la réalisation de ce projet pérenne qui met en valeur de merveilleuse façon les matières premières locales.

Information sur l’image : Sculpture de José Luis Torres. Crédit photo : Kathleen Walsh Moleski